Entre exílios, veredas e aventuras: o romance da vida social em Rachel de Queiroz

Abstract

Ce travail contemple un rencontre entre les narratives de la cience et littérature vers des romans de l´ecrivaine cearense Rachel de Queiroz, regardant dans les exiles, sentiers et aventures que fait la teinture du tissu social dans les romans de la vie. Il passe les romans: O Quinze (1930), João Miguel (1932), Caminhos de Pedras (1937), As três Marias (1939), Dora, Doralina (1975), Galo de Ouro (1986), Memorial de Maria Moura (1992), et fait le dialogue avec les contribuitions téoriques des ciences sociales, mais plutôt, il passe les exils de la pensée atachées aux nos pratiques devant la connaissance des écritures humaines. Les grilles qui empêchent la observation des moviments de la vie sociale et que les renferment dans la fixité d´un regard préntentieux. Il suit les traces des téoriques de la cience sociale et de la litterature, que démontre les posibilités de fait relire les aprentissages téoriques et aussi jettent des visions plus libres sur les textes littéraires. Il passe les sentiers d´une arqueologie du savoir, entre les frontières scientifiques et littéraires, apercevant les renfermements du langage, les posibles libertés de l´écriture et l´art transgressif de la lecture. Il rasure un supposé paysage d´un Nordeste, comme un scénario d´une écrivaine cearense, dans les cadres fixes d´une Nation, cherchant les fleurs poétiques et mythiques qui sortent du sol de la condition humaine, avec ses traits universaux. Il fait possible le rencontre et la complémentarité des narratives sur la condition humaine, parcourt les chemins entre la prose cientifique et littéraire et après, fait un éloge au romance de la socialité. Il propose l´idée du romance comme une forme de savoir que fait le dialogue entre les intrepretations sociales et antropologiques. On lis les ouvrages de Rachel de Queiroz avec le but de comprendre dans le roman de la vie sociale, ses tragédies cotidiennes, les resistences et les posibilités de création humaine devant les dispositions de la culture. Vers les figurations des personnages on suit les narratives invisibles de la culture avec ses institutionnalisations et transgressions. On voit les contraditions humaines, les marques d´un “sentiment tragique de l´éxistence”, don’t rien est résolu, tout est vécu dans la tension entre les grilles des exiles cotidiennes et l´infatigable recherche pour les sentiers, que forgent aventures dans la vie social.